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La France devient le premier pays occidental dont la Constitution violera les droits de l'Enfant et légalisera la fin de vie des êtres humains en développement utérin

05-MARCH • France •

Seuls 30 députés ont été épargnés. Les autres ont applaudi avec enthousiasme la déshumanisation d'un secteur de la population, de l'être humain vivant le plus vulnérable : le bébé en gestation. Avec leur modification de la charte fondamentale, ils ont rendu invisibles des milliers d'êtres humains simplement en raison de leur âge, de leur lieu de résidence et parce qu'ils ne peuvent pas se défendre.

L'avortement maintenant inséré dans la Constitution française laisse à leur sort des milliers de filles non nées au nom des "droits des femmes", remettant en question leur propre devise "Liberté, Égalité, Fraternité". Personne ne peut s'arroger la liberté de décider de la vie d'un autre être humain. Il n'est également pas possible de proclamer l'égalité lorsqu'on discrimine les enfants non nés entre ceux désirés et ceux non désirés. Cela, s'ils n'ont pas été discriminés auparavant en raison de leur situation de santé, pour avoir une incapacité ou la suspicion d'une malformation.

Ainsi, la France s'aligne sur la Chine communiste, sur l'Union Soviétique des années de Lénine, sur l'Allemagne Nazie en plein Holocauste, sur la Corée du Nord, régimes autoritaires qui ont précédé l'Assemblée française dans la légalisation et l'institutionnalisation de l'avortement au plus haut niveau.

L'archevêque émérite de Paris, Mgr Aupetit, qui a également exercé en tant que médecin pendant 11 ans, a déclaré que la France a touché le fond et est devenue un état totalitaire en interdisant, entre autres, l'objection de conscience pour l'avortement.

Mgr Rey de Fréjus-Toulon a parlé de déshumanisation, car la qualité d'une société se mesure à la défense des plus faibles.

L'évêque espagnol d'Orihuela-Alicante, Mgr Munilla, a qualifié ce changement législatif français de "très grave" et a dénoncé l'hypocrisie et la fausseté des valeurs proclamées dans la Constitution française en ce qui concerne le faux droit à l'avortement. "La liberté de l'un", a-t-il dit dans son programme Sexto Continente de Radio María Espagne, "prend fin là où commence la liberté des autres.

Cette modification constitutionnelle ne pourrait être révoquée qu'en atteignant de la même manière les trois cinquièmes de la majorité des chambres françaises.

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